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31 mars 2013 7 31 /03 /mars /2013 11:41

ultime testament 1Voici mon dernier livre paru le 30 mars 2013. C'est un ouvrage plutôt philosophique et spirituel qui lance un appel aux humains aux changements de comportement, d'esprit et de pensée, afin de bâtir un monde meilleur tourné vers le respect d'autrui, de la planète et de la vie. Des changements qui seront nécessaires, voire vitaux, afin de continuer la belle aventure de la vie. Voici ce que dit la préface :

Ami lecteur, il m’est apparu utile, voire nécessaire, avant que tu n’entreprennes la lecture de cet ouvrage, que je t’écrive quelques mots au sujet du texte qui défilera devant tes yeux d’ici peu. En couchant ces lignes, qui j’espère te toucheront, j’ai voulu porter ma pierre, si petite soit-elle, à l’édification d’une conscience humaine planétaire que quelques uns, par delà toute frontière, tentent d’ériger avec beaucoup de difficultés. En effet, notre monde semble s’enfoncer inexorablement dans la lise du matérialisme, dans les profonds marécages de l’individualisme et dans les ténébreuses noirceurs de l’égoïsme généralisé. Notre ciel s’obscurcit au point que la lumière, vitale pour notre croissance, peine chaque jour plus durement à transpercer les sombres couches nuageuses qui enveloppent notre esprit. Tout le monde s’accorde à dire que l’avenir qui pointe, se pare des plus mauvais effets. L’intolérance, l’incompréhension, la pauvreté, la pollution, l’insécurité, et bien d’autres choses affreuses, n’ont jamais pris autant d’ampleur qu’aujourd’hui. Tout le monde s’accorde à dire qu’il faut changer tout cela. Mais bien peu s’y attellent. Bien peu comprennent que chacun de nous forme le monde dans lequel nous vivons. Encore moins comprennent que le monde ne peut changer qu’à la condition que chaque individu travaille à transformer son propre cœur. Il est des plus urgent que chacun d’entre nous sonde les profondeurs de son être à la recherche de l’humanité enfouie dans son for. Une humanité qui attend depuis l’aube des temps une pluie nourricière qui nous fera croître et nous fortifiera. Une humanité qui doit se voir sur le visage de notre prochain. Le monde a besoin, plus que jamais, face à ce matérialisme galopant, d’un retour au spirituel, d’un retour aux fondamentaux qu’ont su exploiter nos plus lointains ancêtres. En nous coupant de la nature, nous sommes en train de perdre la nôtre. En ne voulant pas comprendre que la Terre, cet astre si merveilleux, est notre maison commune, en ne voulant pas comprendre qu’en la maltraitant, nous agissons contre nous-mêmes, nous courons le risque de la voir s’écrouler sur nous. Ce faisant, nous finirons par gésir dans une strate géologique recouverte par des tonnes de sédiments. Seul un retour au spirituel pourra nous apporter de meilleurs lendemains. Une spiritualité humaine qui n’a pas besoin de se plier aveuglément aux dictats des religions mais qui doit se parer de sacré. Le sacré doit se voir, ou se placer, dans le respect des autres, de la vie, de la nature, de la liberté de chacun. Il doit être perçu dans la possibilité pour chacun de pouvoir subvenir à ses besoins, d’accéder à la connaissance, de s’adonner à la pratique des arts, de vivre libre et en paix. C’est ce que je m’efforce, à travers cet ouvrage, de vouloir faire comprendre à mes semblables. Le ton et le style que j’emploie à cet effet, se veulent au plus proche possible du caractère sacré que possède la vie. Aussi, c’est tout naturellement qu’à travers ces lignes que j’ai écrites, je donne la parole à la vie elle-même. Et quoi de plus fort, pour rendre plus intense l’importance de ce message, que de reprendre le verbe des Saintes Ecritures afin de délivrer celui-ci ? Mais comme tout message doit être compris par celui à qui il est adressé, celui-ci l’est pour l’humain du XXI° siècle. Ainsi, ami lecteur, si Dieu devait te révéler à nouveau sa parole à cette heure, au vu de ce que tu es capable de comprendre aujourd’hui et de l’époque dangereuse dans laquelle nous vivons toi et moi, il laisserait entre nos mains un « Ultime Testament ».

Prix de vente : 12 euros + 3euros de frais d'envois. Contact : christian.beninati@live.fr

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3 juillet 2010 6 03 /07 /juillet /2010 14:40

Rencontre-Metaphysique--couverture-.jpg

Rencontre Métaphysique est mon dernier livre publié récemment (juillet 2010). Pour les amateurs de sciences ou de philosophie, je propose ici une nouvelle théorie (et inédite) sur le fonctionnement de l'univers. Et d'après celle-ci, j'en tire les conséquences sur une autre façon de voir, non seulement la vie sur des thèmes divers comme le cosmos, Dieu, le temps, l'éternité, etc. mais aussi sur une autre façon de penser la vie humaine dans ses aspects comme la religion, la guerre, le paranormal, la vie, la mort, l'évolution, et bien d'autres. Mais en dehors de tout ceci, cet ouvrage est un appel lancé aux humains pour changer notre façon de vivre, notre comportement, car il en va de notre avenir en tant qu'espèce vivante sur Terre.

Ce livre est publié à compte d'auteur, comme "Sicile, l'histoire de nos origine". Ce qui veut dire que j'en fait moi même la distribution. Si cet ouvrage vous intéresse, contactez-moi à :

christian.beninati@live.fr

Son prix est de 15 euros + 3 euros de frais de port

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1 février 2009 7 01 /02 /février /2009 11:49


Bonjour et bienvenue sur ce site qui a pour but de présenter mes ouvrages et quelques autres choses que le temps amenera. Je voudrais essayer de faire, ici, un endroit d'échange culturel. Mais si vous désirez me contacter, ou passer commande, je vous laisse mon adresse e.mail : christian.beninati@live.fr.
Je voudrais aussi remercier mes amis et mes partenaires dont les liens un peu plus bas à droite vous permettront d'accéder à leur site. N'hésitez pas à faire connaître ce blog à vos amis, à votre famille, à ceux qui pourraient être intéréssés par ce que je fais. Il ne me reste qu'à vous souhaiter une bonne journée et vous remercier d'être passé par là. Ciao ciao !


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29 août 2008 5 29 /08 /août /2008 11:14

 

 
SICILE, L'HISTOIRE DE NOS ORIGINES
4 eme de couverture
: Cet ouvrage plonge le lecteur dans l'histoire de la Sicile depuis l'époque des premiers habitants de l'île jusqu'à nos jours. Cette terre, au cours du temps, s'est vue envahie, conquise et gérée par de multiples occupants qui ont tous laissé leur empreinte, tant physique que culturelle, non seulement dans le pays, mais aussi dans les gènes et les traditions des Siciliens.
Remontant aux diverses origines qui ont formé le caractère des Siciliens, une grande parenthèse est faite sur les Vikings et les Normands, arrières-grands-parents et grands-parents de ce peuple fier de cette ascendance. Ainsi, l'auteur nous fait connaître, suite à l'histoire de la Sicile, qui sont les Siciliens d'aujourd'hui, où qu'ils se trouvent de par le monde, en débarassant ceux-ci des clichés trompeurs qui entachent leur réputation.
(Prix de vente : 20 euros + 3,60 euros de frais d'envoi) Pour commander ce livre, vous pouvez me contacter par mon adresse e-mail.

CE QUE DIT L'INTRODUCTION DANS CE LIVRE

Les îles ont toujours suscité le pouvoir et la domination. Qui n'a jamais rêvé de trouver une île et d'en devenir le roi ? La Sicile, terre au paysage unique dans le monde, avec ses 25.708 km² qui font d’elle la plus grande île méditerranéenne, n'y a pas échappé. Située en effet en plein cœur de la Mare Nostrum, au carrefour de trois continents, l’Europe, l’Afrique et l’Asie, elle est un endroit comme nul autre et sa position stratégique pour le commerce ou la guerre a suscité l’ambition et la convoitise de plus d’un roi et de plus d’un peuple.

Sa situation géographique et la forme de ses côtes, 1.039 kilomètres en font le tour, la rendent très abordable et très vulnérable. Un très court détroit la reliant à l'Italie, celui de Messine, et un littoral ouvert qui permet aux marins de trouver facilement un abri où jeter l'ancre, mais aussi facilite les actes de pirateries ou la venue d'envahisseurs qui ne manquent pas de plages où se sont vus les débarquements successifs de Phéniciens, Grecs,  Carthaginois,  Romains, Vandales, Goths, Arabes,  Normands, Francs,  Lombards, Germains, Français, Espagnols, Autrichiens, Américains. Son histoire est remplie d'invasions et de batailles. Mais elle a su faire avec. Elle a même su trouver l'occasion d'être dans son histoire le centre du monde. S'adaptant encore et encore, elle a malgré tout, à travers tous ses périples, synthétisé les diversités culturelles, non seulement dans l'architecture de ses villes, mais aussi en ses habitants. Même si les Siciliens ont démontré dans leur histoire leur caractère antimilitariste et ont subi moult invasion, et qu’ils ont été un peuple souvent conquis mais jamais soumis, ils ont réussi paradoxalement à assimiler leurs conquérants, et non le contraire.

Peut-être n'est ce pas tout ? La géologie y aurait-elle joué une part ? Ce grand volcan qu'est l'Etna, avec son cratère d’un diamètre de 50 km et ses 3.350 mètres d’altitude qui en font le plus haut d’Europe, n'a pas façonné l'île seulement. Mais sa lave sèche est taillée par les hommes qui bâtissent leurs édifices. Sa fougue, ses colères, ses périodes de calme, ont sculpté aussi, semble-t-il, le caractère des Siciliens. Que dire de ses 135 éruptions majeures depuis l’Antiquité, dont 15 pour le seul XX° siècle. Ce volcan que les autochtones appellent « la Montagne », est l’un des plus surveillés au monde, sa physionomie change tous les ans. Et que dire de son frère, le Stromboli, qui n’arrive plus à inquiéter les gens qui vivent dans son environnement, même s’il gronde tous les jours.

Le caractère des Siciliens, incontestablement formé par l'histoire de leur île, est typique des insulaires. Caractère à part entière méridional, il n'en est pas moins unique.

Les Siciliens paraissent renfermés et peu expressifs quand on arrive chez eux. Les œuvres hollywoodiennes, notamment "Le Parrain", qui ont exporté dans le monde entier les histoires de la Mafia, sont responsables de la réputation du sicilien sombre, non abordable, violent et méchant. En fait, il est plutôt sensible et jovial. C'est aussi un italien, un méridional, il ne faut pas l'oublier. Travailleur et volontaire, parfois "jusqu'au-boutiste". Il est fier d'être sicilien, fier de son pays, la Sicile. Cette terre qui est celle d'un paradis où poussent citronniers, orangers, amandiers, grenadiers, figuiers, vignes, palmiers et oliviers. Pour paraphraser l'Ancien Testament, "un pays où coule le lait et le miel", et qui a fait la richesse de ceux qui l'ont dominée. Une île qui est comme une oasis, où le climat apporte douceur de vie, où l'air mélange les odeurs de l'iode côtier, du jasmin ou des fleurs d'orangers, et dissipe dans les rues les émanations, sortant par les fenêtres des demeures siciliennes, d'une sauce tomate qui mijote sur le feu des ménagères. Il est fier aussi de sa famille, son épouse et ses enfants qu'il aime par-dessus tout. Mais aussi de son état, de son métier ou de ses responsabilités. Pour toutes ces choses, il est tellement fier qu'il en viendrait à frôler l'orgueil. Et s'il est orgueilleux, c'est qu'il a un sens de l'honneur pointu. A l'image de ses ancêtres Normands, chacun tient à sa place et à sa parole. Solidaire de sa famille, il n'en est pas moins de sa communauté, au point qu'à l'étranger un autre sicilien est quelqu'un de la famille.

Le fruit de son histoire l'a rendu tolérant, même si pour lui la "sicilianité"  prime ainsi que sa foi catholique. Encore aujourd'hui à Palerme, où vivent près de 800.000 habitants sur les 5.200.000 qui peuplent l'île, nous y voyons toutes sortes de communautés formant la mosaïque sicilienne. Une ville qui n'a rien à envier aux autres cités d'art, tant son architecture est riche. Une ville qui n'a pas oublié ses diverses origines, avec un faible certain pour les Normands, ce dont ils sont très fiers aussi. D'ailleurs, la patronne de Palerme, adoptée au XVII° siècle, est Sainte Rosalie, une ermite normande.

Aujourd'hui la Sicile, plus grande région d’Italie, est insérée dans l'entité européenne, et sa langue même semble menacée par l'italien officiel depuis la seconde moitié du XX° siècle. Mais si on tend bien l'oreille, si on écoute le bruit de fond, comme celui du chant occulté d'un oiseau par le tumulte de la forêt, on peut alors entendre le sicilien, langue des voix basses et des secrets. Pourtant malgré cette assimilation italienne, la Sicile semble rejetée par l'Italie Lombarde comme si elle n'avait que faire de ce vilain petit canard. Mais là Sicile est toujours là, comme dans l'attente de retrouver sa gloire acquise à l'époque de la vaillance ! Son histoire est loin d'être terminée. Par la même occasion, celle du Sicilien perdure.

Et même si les conditions économiques du pays ont souvent, et encore aujourd'hui, poussé les Siciliens à l'émigration dans tous les pays occidentaux, comme un arbre lançant ses rejetons qui s'enracinent dans de nouveaux terreaux, comme les vikings, leurs ancêtres, ils vont à la conquêtes de nouvelles terres. Et grâce à son bagage multiculturel, le Sicilien est devenu un citoyen du monde.

 

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